"L'information economique et sociale occupe la 3eme position des rubriques favorites, derriere le sport et la sante (la 5e pour les femmes). 65% des sondes declarent la suivre mais seulement 5% des 18-24 ans la suivent « regulierement ». 34 % des 18-24 ans n'ont recours a aucun des medias traditio
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nnels pour la suivre. Les medias traditionnels (76 %) sont talonnes par les reseaux sociaux (61 %) mais sont deja depasses parmi les categories socio-professionnelles les moins precaires et chez les 18-34 ans. Le mode de traitement des medias traditionnels releve dans plus d'un cas sur deux d'un journalisme « assis » de compte-rendu. 15 % des repondants suivent les publications d'un « influenceur » economique ou social sur les reseaux sociaux. 96,5 % des repondants privilegient des contenus en arabe. 70 % des Tunisien.ne.s ne sont pas satisfaits des contenus ; 87 % estiment que les themes n'ont rien a voir avec leur vie quotidienne et 64 % que le traitement n'est pas clair et difficile a comprendre. Les journalistes economiques et sociaux sont consideres comme dependants du pouvoir politique (47 %) et de l'argent (46 %). 2,5 % des repondants declarent ecrire des contributions sur ce theme sur les reseaux sociaux (et 7 % chez les plus de 55 ans)." (L'étude en 10 chiffre clés, page 16)
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