"L'Africain n'est pas attiré par l'écran dans le but de se délasser et de se distraire: il veut avant toute s'enrichir moralement et intellectuellement — Les films qui lui sont présentés sur l'Europe et les Etats-Unis, outre que parfois ils choquent sa sensibilité (la conception de l'amour, en particulier) aboutissent à lui donner des idées fausses — D'où nécessité de réaliser des films africains, pour les Africains, par les Africains." (Jean-Marie Van Bol, Abdelfattah Fakhfakh: The use of mass media in the developing countries. Brussels: CIDESA, 1971 Nr. 2376, topic code 320)