"Tout au long de l’analyse sou - tendue par la théorie des usages et gratifications, nous nous sommes rendus compte que le site présente bien des avantages, mais à des potentialités qu’il n’exploite pas et a donc encore du chemin à faire. Les Nouvelles Technologies de Communication et de l’Information offrent de nombreuses possibilités que le site doit exploiter. Le public est, aujourd’hui à la recherche du changement, de la nouveauté. Donc il doit mettre à profit toute cette richesse et améliorer sa qualité de production. En effet, nous avons mis l’accent sur le contenu qui est la clé du dynamisme et de la qualité d’un site. Les articles qui sont publiés, les thèmes développés sont intéressants, mais de nombreux aspects manquent pour les rendre plus intéressants encore. Au vue de tout cela, nous avons fait quelques suggestions pour une amélioration. En seulement une année d’expérience, l’on peut dire, au regard des résultats, que le site a atteint un niveau acceptable de notoriété et l’on espère que dans quelques années, il atteindra une notoriété planétaire et qu’il sera représenté dans tous les pays africains et comblera les besoins des visiteurs. Cela va donc sans dire que le besoin en informations en ligne est croissant. L’Eglise africaine doit se rendre compte de cette réalité et s’ouvrir à la nouveauté. Le temps n’est plus à l’hésitation encore moins au rejet de ces nouveaux moyens, mais à l’action. La Croix Africa fait ce qu’elle peut faire, mais ce n’est pas suffisant. Et, comme nous l’avons signalé dans la présentation du site, ce site est un site créé par le groupe Bayard qui n’est pas un groupe africain. Cela influence le choix et le traitement de l’information. Même si la création de sites demande de grands moyens, l’Eglise africaine ne doit pas se décourager devant ces difficultés." (Conclsuion, page 60-61)

Thesis of Cardinal Foley Scholarship Fund (CFSF) beneficiary