"This is the first monograph on the history of film culture ever for lusophone Africa. It consists of three parts: the colonial period (1896-1974), the first years of independence (1975-1991) and the years of the liberalization of the media (1992-2010). In these three periods attention is given to t
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he exhibition of films (and the African or local audience) and to the production of films in the country by Mozambicans or non-Mozambicans. The book takes an African perspective on film culture and the political evolutions in the country." (commbox)
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"In 1998 at the Montreal assemblies of UNDA, the World Catholic Organization for Radio and Television, and OCIC, the International Catholic Organization for Cinema, the two associations agreed to merge. The merger was achieved in just over three years. This book gives an account of the merger proces
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s using reports written at the time and minutes of meetings. With the vote for SIGNIS in Rome in November 2001, the new World Catholic Association for Communication was inaugurated. This book gives a history of the Organization for its first two terms as we celebrate 80 years of its predecessors OCIC and UNDA. Special contributions come from the last President of UNDA, Angela Ann Zukowski MHSH, Robert Molhant, past Secretary General of OCIC and SIGNIS, Peter Thomas, past Vice President of UNDA and present Vice President of SIGNIS, Bernardo Suate, director of the Rome Services, Guido Convents, Cinema Desk, SIGNIS, and Jim McDonnell, SIGNIS England and Advocacy Desk." (Signis Media 4/2009)
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"Les Rwandais et les Burundais ont une culture cinématographique et audiovisuelle captivante et centenaire. Elle a été introduite pendant l’époque coloniale allemande et est ensuite tombée dans les mains des Belges qui l’ont développée après. Au Rwanda/Burundi, ils produisaient des films
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marqués par le discours colonial. Au même moment, l’imaginaire des autochtones était imprégné par le cinéma du monde (la France, l’Italie, les Etats-unis, l’Inde, le Pakistan, l’Egypte…) qui n’était guère contrôlé. Cette liberté culturelle a perduré après l’indépendance. Ainsi, la population a été confrontée au cinéma comme une expression artistique mais aussi comme un instrument de propagande. Au début, la production de cinéma et de télévision servait aux différents régimes et présidents. Après le tournant du siècle et sous l’influence du processus de Paix, les médias se sont libéralisés, favorisant ainsi, avec la révolution numérique, la production audiovisuelle. Au Rwanda, le génocide a eu une influence particulière dans le foisonnement d’initiatives privées de productions audiovisuelles et cinématographiques. Dans ce livre, Guido Convents nous invite à découvrir différents aspects de la culture audiovisuelle burundaise et rwandaise: des réalisateurs, des distributeurs, des exploitants, des comédiens, mais aussi des spectateurs, le pouvoir politique, la société civile, et tant d’autres pions. Il jette un regard, non seulement sur les images produites par les Rwandais et les Burundais mais surtout sur le rôle qu’ils attribuent au cinéma et à l’audiovisuel en général, et en particulier dans le domaine de la Paix." (Description de la maison d'édition)
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"Les Congolais ont une histoire et une culture cinématographique et audiovisuelle fascinante. Dès la naissance du cinéma, ils ont été confrontés à cette invention qui était à la fois un art et un instrument de propagande. La politique du gouvernement colonial, dans un premier temps, puis ce
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lle du président Mobutu, n’a pas facilité l’accès « libre » au cinéma, qu’il s’agisse de réaliser des films ou de les voir. Le cinéma et la télévision ont été conçus et censurés par les coloniaux et le dictateur Mobutu pour soutenir ou illustrer leur pouvoir. Après la chute de Mobutu, la libéralisation des médias a provoqué un foisonnement d’initiatives privées, dont celles de la société civile. Le livre du Dr Guido Convents propose un regard sur les différents acteurs de la culture audiovisuelle congolaise, au Congo ou à l’étranger : le gouvernement, le public, les réalisateurs, les exploitants et les comédiens. Il s’interroge sur les relations qu’entretiennent les Congolais avec les images animées et constate que l’imaginaire de ce pays a été fortement imprégné de cinéma. Cet ouvrage met en évidence le fait que depuis les années cinquante, les Congolais sont conscients qu’une production audiovisuelle libre et artistique est essentielle pour le développement démocratique de leur pays." (Description de la maison d'édition)
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