"Le principal mérite du Festival cinématographique de Carthage (13 au 20 octobre 1968) aura été d'avoir permis aux cinéastes arabes et africains de se connaître et de confronter leurs oeuvres à la production étrangère — Si le « TANIT u d'or n'a pas été décerné, c'est en raison du faible niveau des films mis en compétition et du refus des auteurs d'admettre leurs imperfections et leurs limites." (Jean-Marie Van Bol, Abdelfattah Fakhfakh: The use of mass media in the developing countries. Brussels: CIDESA, 1971 Nr. 1529, topic code 310.0)